Couverture du livre Ne nous laissons pas abattre

Et si l’euthanasie devenait un piège, plutôt qu’un choix ?
Alors que la France s’apprête à légaliser le suicide assisté et l’euthanasie, ce manifeste pose une question simple mais cruciale :
peut-on vraiment parler de liberté, dans un pays dans lequel quatre personnes sur cinq meurent sans soins palliatifs adaptés ?
Ce texte engagé, accessible et sans jargon, démonte avec précision les illusions d’un « progrès » présenté comme inévitable.
Il met en lumière une mécanique insidieuse : à force de pénurie, d’isolement, et de langage feutré, on glisse vers une société où certains finiront par demander la mort… faute d’avoir eu les moyens de vivre jusqu’au bout.
Dans un style percutant, entre exemples éclairants, données chocs et analyses politiques, ce manifeste dénonce :

  • Le démantèlement silencieux des soins palliatifs,
  • Le poids des inégalités sociales dans les décisions de fin de vie,
  • Le langage utilisé pour rendre acceptable l’abandon,
  • Les stratégies politiques et médiatiques qui façonnent l’opinion.

Ni religieux, ni partisan, ce texte s’adresse à tous.
À ceux qui doutent. À ceux qui n’osent pas dire ce qu’ils pressentent.
À ceux qui refusent que la mort devienne la solution sociale à notre
incapacité de soigner.

« Ce n’est pas un droit qu’on nous offre.
C’est une résignation qu’on organise. »